The Brooks est de retour le 23 octobre avec son nouvel album Any Day Now qui parait sur le label Underdog Records.
The Brooks est un groupe de funk canadien fondé en 2013 à Montréal. Il est composé d'Alexandre Lapointe (basse), Alan Prater (chant), Maxime Bellavance (batterie), Philippe Look (guitare), Daniel Thouin (claviers), Philippe Beaudin (percussions), Sébastien Grenier (saxophone), Hichem Khalfa (trompette).
Dignes des plus grands noms de la scène Funk, Soul et R & B, The Brooks cumulent les succès de Montréal à Paris, en passant par Copenhague, le Maroc et le Mexique. Partout où ils passent, ils laissent derrière eux un public captivé par leur talent et leur dynamisme contagieux.
¿Who’s The Cuban? est un combo franco-cubain qui a fait ses armes dans le sillon de la tradition cubaine sous le nom de " Son Del Salón ". Après 3 albums et plus de 500 concerts, une irrésistible envie de renouveau bouillonne : ¿Who’s The Cuban? est leur nouveau nom, et, l’album " Circo Circo ", leur révolution musicale sera dans les bacs le 29 mars.
Avec " Circo Circo ", le combo s'affranchit de la pure tradition de la musique cubaine et y associe l'énergie du rock et des musiques actuelles. Furieusement dansant et inspiré, ce groupe de six musiciens fait sa révolution musicale, avec un nouveau répertoire qui a pour point d’équilibre la croisée des personnalités et des cultures.
De La Havane à Liverpool, en passant par l'Afrique et les Caraïbes, c'est tout un voyage que propose le sextet. A l’arrivée le groupe nous livre un recueil d’histoires, tristes ou drôles, futiles ou sérieuses, qui sentent le vécu et le soleil.
Avec cet album réalisé par Lucien Zerrad (Angélique Kidjo, Enzo Enzo…) ¿Who’s The Cuban? veut faire vibrer, à l’image d’un vieux poste de radio cubain qui diffuserait les ondes d’aujourd’hui.
The Bongo Hop présente son deuxième album, " Satingarona Pt 2 ", après un premier opus remarqué. La tornade de rythmes tropicaux et de cuivres affûtés revient le 22 février 2019 pour la suite d'une aventure palpitante.
Toujours aussi solide sur la danse, le groove à la fois chaloupé et inclassable, le disque réussit le pari de raconter de nouvelles histoires, tout en prolongeant le climat sonore et mélodique de son prédécesseur.
Officiant sous le pseudonyme The Bongo Hop tiré de l'univers de la BD, le trompettiste Etienne Sevet, globe-trotter (8 ans de Colombie au compteur), journaliste (SoFoot, WordSound, documentaires) brouille les pistes, tout en nous tenant fermement par la main sur la piste de danse.
Preuve en est avec ce San Gabriel inspiré des chants du Pacifique Colombien, nous perdant entre les esprits de la mangrove et ceux de l'océan. Bon voyage avec ce nouveau volet de The Bongo Hop !
Deux ans après l'oubliable " Stripped ", Macy Gray et sa voix incendiaire font un retour fracassant avec " Ruby", son nouvel album qui sortira le 7 septembre sur le label Mack Avenue. Un mélange de rythmes funky, de phrasés hip-hop et d’arrangements électro swing jubilatoires distillaient au cours des douze nouvelles compositions.
Sugar Daddy figurera sur le dixième album studio de la chanteuse qui a décidé de collaborer à sa réalisation avec le guitariste Gary Clark, Jr. et les producteurs Tommy Parker Lumpkins (Janet Jackson, Justin Bieber, Kelly Rowland), Johan Carlsson (Michael Bublé, Maroon 5), Tommy Brown (Jennifer Lopez, Ariana Grande).
Découvert il y a deux ans grâce à leur premier EP " The Break Up " et l'excellent single Fashion Drunk, Otis Stacks revient dans votre store préféré le 26 mars avec un premier album.
Justmilke a branché instruments et machines pour ses compositions, laissant Elias assurer textes et interprétation. Où la soul s’imprime en fil directeur dans un composite organique et numérique.
Dans une production éthérée et aérienne qui perche ses arrangements dans les airs du mix ou les enfouie dans ses soubassements, laissant l’electro se répandre sur un groove poinçonné de touches noires et blanches. Chaque élément intervenant avec discrétion pour laisser les histoires d’Elias se raconter avec élégance et raffinement. Des histoires d’amour contrariées, déçues ou avortées.
Emmenés par la voix envoûtante et l'énergie de la séduisante et charismatique Ciara Thompson, The Buttshakers délivrent depuis dix ans une soul chaude et crue qui lorgne sur le blues et les rythmes addictifs qu'ils affectionnent tant.
Un rythme n 'blues avec une touche de garage, et une forte dose de sex-appeal font de leurs chansons des hits puissants.
Pour dévoiler In the City, premier extrait de l'album, The Buttshakers ont choisi une vidéo tournée dans plusieurs quartiers autour de la ville de St Louis en août-octobre 2017. Sous la direction de Bill Streeter, Hydraulic Studios, la vidéo capture les tensions qui ont suivi la mort de Michael Brown en août 2014. Les émeutes qui ont eu lieu pendant cette période ont lancé une vague de manifestations citoyennes, en réaction et à la suite de violences policières et de fusillades survenues aux États-Unis (Eric Garner, Trayvon Martin, etc. .), et puis amorcé la montée en puissance à l'échelle nationale du mouvement Black Lives Matter dans la sphère publique.
Reflétant le climat social actuel, St Louis est un exemple parfait des tensions socio-économiques et raciales vécues aux États-Unis: une ville racialement divisée, luttant pour surmonter une longue histoire de dépression économique et d'inégalités. mélangeant des vidéos de ces manifestations, avec les protestations récentes à St Louis sous le mouvement connu sous le nom #ExpectUs qui se bat contre les violences policières.
Raul Midón est de retour avc son cinquième album " Bad Ass and Blind ". Véritable homme-orchestre des temps modernes, Raul Midón se promène sur les rythmes jazz, funk et blues. Cet auteur-compositeur et guitariste, proche collaborateur de Herbie Hancock et Stevie Wonder, s'aventure aussi au cinéma en travaillant sur les bandes-son de Spike Lee. D'une liberté sans limite, il n'entre dans aucune catégorie mais se sent bien partout. Derrière ce talent unique, une frustration de naître aveugle et de s'entendre répéter à longueur de journée que tout effort sera peine perdue. Pourtant il s'accapare le monde en s'abreuvant de sons. Sa guitare, ses voix et le plaisir de la vie sont partagés.
Raul Midón compose et interprète une soul teintée de folk grâce à sa technique singulière de " slap-attack " qui sublime le groove de la guitare acoustique et lui vaut régulièrement des standings ovations. Son dernier album " Bad Ass and Blind " nous transporte sur onze titres entre jazz, groove et soul moderne, avec entre autre une reprise du Steve Miller Band : Fly Like An Eagle, mais aussi Gotta Gotta Give avec en invité Jean-Philippe Rykiel.
Dem Charles est de retour avec un nouveau single et un nouvel album : " One For U ". Toujours à cheval entre plusieurs styles, navigant entre la soul et la pop, Dem Charles séduit encore son public par sa voix sensuelle et ses mélodies aériennes, rythmées par des beats urbains et caribéens.
Premier titre de l’album, One for U parle de notre société actuelle, des dangers de la surmédiatisation et des réseaux sociaux. Originaire des Caraïbes, Dem Charles a beaucoup voyagé et multiplié les expériences musicales notamment aux Etats-Unis avant de parvenir à composer et enregistrer ce disque, aboutissement d'un long parcours et reflétant ses valeurs humanistes.
Avec " One For U ", Dem Charles met en avant ses capacités d'instrumentistes et de chanteur, sans oublier celles de producteur virtuose, nourri de multiples styles, et affichant un style très maîtrisé, l’O.P.E soit l'Orchestral Pop Electro.
Entre excentricité et mélancolie, l'artiste québécoise Klô Pelgag revient avec " L'Etoile Thoracique ", un deuxième album pop orchestral féérique, tapissé de violons et de cuivres.
Après plus de 200 concerts aux quatre coins de la francophonie, du Québec à la Belgique, de la France à la Suisse, et trois ans après " L'Alchimie des Monstres " loué par la critique et le public, Klô Pelgag est de retour dans les bacs avec " L'Etoile Thoracique ", une fresque surréaliste pleine de fougue et aux arrangements détonnants.
Klô Pelgag nous parle de la terre, des étoiles, du ciel et d'amour aussi. La musique inclassable de cette jeune artiste est une histoire de passion et de sensibilité. Son frère Mathieu a concocté les magnifiques orchestrations en s’entourant d’un orchestre de 20 musiciens et Sylvain Gabatine a consacré six mois à la réalisation de l’album.
Tout au long des treize titres de l'album, à la fois inspirée par la liberté, les fruits, les légumes, les grandes tragédies, les fleurs et les herbes, Klô Pelgag ne ménage pas ses envolées vocales, sa folie et son imagination débordante.
Celles et ceux qui me suivent depuis un moment savent bien qu'entre les reprises et moi c'est une très longue histoire qui n'est pas prête de se terminer… Comme toute relation, il y a évidemment des hauts et des bas, parfois même les deux ensemble !!! Après avoir écouté l'album " Gentlewoman, Ruby Man " qui regorge de merveilles et sortira le 13 janvier 2017, je peux vous garantir que l'on est dans le très très haut de gamme en matière de reprise.
L’album regroupe des duos de reprises hors des sentiers battus d'artistes aussi divers que Leonard Cohen, Roy Ayers, James Blake, The Velvet Underground, Frank Ocean, George Harrison, Charlotte Gainsbourg, Frankie Valli, et même Nino Ferrer et Radiah Frye. Sur ce luxueux répertoire, Flo Morrissey et Matthew E. White nous ensorcelent à dix reprises, la grâce et la ferveur de leurs voix si différentes font mouche à chaque fois.
Tous les disques racontent une histoire, quelques tours de cadran avant que l’aiguille ne s’arrête. Une jeune chanteuse anglaise traverse l’océan pour passer deux semaines avec un auteur-producteur américain à la voix calme dans un studio de renommée internationale dans une ville modeste de Virginie. En face d’un champ où paissent des chevaux tranquilles, elle se laisse baigner par le soleil printanier et l’air dense du sud, et dans ce repaire de petits génies musiciens, elle leur donne quelques leçons sur la vie et la manière de ressentir la musique. Puis ils concoctent d’incroyables reprises, à la fois familières et novatrices, ou peu connues bien qu’anciennes, dans un style décontracté capturant l’essence des chansons et un peu de la folie de ce que c’est que d’être humain. Le producteur connaît son job, elle déclenche des feux d’artifice pour son premier 4 Juillet aux USA, la session se déroule sans encombre, les éclairs sont mis en bouteille, puis elle rentre chez elle. Et on a envie de partir avec elle, de voyager les yeux fermés.
Flo rencontre Matthew en personne pour la première fois à l’automne 2015 à un concert en hommage à Lee Hazelwood au Barbican à Londres, où tous deux ont chanté " Some Velvet Morning ", fait évoluer leur correspondance en une belle amitié et discuté du désir de bientôt collaborer. Ce désir a donné naissance à " Gentlewoman, Ruby Man ", un disque classique de duos par bien des aspects, d’un genre désuet, sur lequel deux entités distinctes se rencontrent pour enregistrer une série de grandes chansons, à la manière de Marvin et Tammi. Mais il s’agit aussi quelque-chose de moins classique, où les deux parties se répondent avec subtilité, partageant la lumière. Un disque comme " Gentlewoman, Ruby Man " peut sembler inévitable, mais c’est un petit miracle et un hommage à l’effort et à l’alchimie existant entre ces deux artistes qui ont réussi à faire fonctionner le tout, à se trouver et à collaborer sur un projet de ce type d’une rive à l’autre de l’Atlantique dans le paysage musical incertain du XXIème siècle.
Morrissey et White semblent voués à voyager au-delà des genres, même s’ils ont exploré des territoires plus classiques sur leurs albums précédents. Le premier album de Morrissey, Tomorrow Will Be Beautiful (2015), est un disque honnête et lumineux, un joyau unique au sein de la scène neo-folk rock, qui n’est pas sans rappeler les exceptionnels enregistrements acoustiques de Devendra Banhart et Joanna Newsom au début des années 2000. L’incroyable premier album de White, Big Inner (2012), tout comme le suivant, Fresh Blood (2015), offrent un véritable périple au cœur de la southern soul, entrepris avec sa famille musicale basée à Richmond. Gentlewoman, Ruby Man, qui se termine par une sublime psalmodie à Krishna, est un peu plus difficile à étiqueter. Mais cela fonctionne, et reflète à merveille l’univers unique de ce projet, univers que connaissent ceux qui ont suivi le travail de White pour son label/maison de production Spacecomb.
La méthode de travail de White consiste à équilibrer préparation et respect pour l’intuition du musicien. Ce qui le différencie des autres producteurs rock de sa génération puisant leur inspiration dans des décennies d’enregistrements, c’est son bagage jazz et son approche sophistiquée de l’art de l’arrangement dans la tradition de Quincy Jones, le tout saupoudré de quelques brins de l’ADN psychédélique de Brian Wilson. Morrissey a injecté une dose d’allégresse sereine au tout. Elle a choisi de faire confiance à White, tout en n’hésitant pas à apporter ses propres lumières et à faire valoir ses opinions en studio.
La voix éthérée de Flo a gagné en puissance avec les années, apportant une richesse et une dimension magiques à tout ce qu’elle touche. Le chant doux de White accompagne celui de Morrissey, ou prend parfois le dessus. Voilà de grandes chansons, enregistrées en confiance, sans conflit d’ego, avec un groupe fougueux et libre, loin des conventions. Un album de reprises aurait pu verser dans l’éclectisme gratuit, ses auteurs auraient pu le concevoir à des fins purement commerciales ou pour étaler leurs références, mais White et Morrissey ont simplement choisi de bonnes chansons, parfois inattendues, qu’ils aiment et qui leur parlent, de " Grease " (1978) à une interprétation émouvante du " The Colour In Anything " (2016) de James Blake. Dix titres qui font chaud au cœur et au corps.